Essais: Volvo S40 1.6 d Drive

Un habitacle propre, soigné et bien fini. On se sent clairement dans une voiture de luxe avec notamment ce cuir beige très joli, la planche de bord est bien arrangée avec une petite touche d’aluminium et quand on s’installe à la place du conducteur, il faut dire qu’il n’y a pas à chercher les fonctions des boutons. On ne peut quasiment rien reprocher à l’habitacle de cette S40 démoniaque.

La recette pour réduire les émissions de CO2 est désormais connue car il suffit juste d’effectuer quelques changements esthétiques et mécaniques, la S40, reçoit, par exemple,  une nouvelle gestion électronique, des 3e et 4e rapports allongés, un indicateur de changement de rapports, une huile spécifique pour affaiblir les frictions et les pneus à basse résistance. Quelques améliorations aérodynamiques également avec un spoiler arrière, une grille de calandre pleine, un châssis rabaissé de 10 mm et des déflecteurs devant les roues avant.

Long de 4.48 m, large de 1.77 m et haut de 1.45 m, le Drive ne s’établit pas seulement à une seule finition, mais à toute la gamme. L’équipement reste identique aux versions traditionnelles, le véhicule disponible avec uniquement le 1.6d de 110 ch qui équipe notamment de nombreux modèles de PSA, cette S40 Drive reste très proche de son modèle plus polluant  mais surtout plus agréable.

Le Volvo Drive devient la référence du segment, avec notamment 104 g/CO2 comme Audi propose 105 g/km et que la BMW annonce 109 g/km avec sa 320d,  mais il faut toujours s’apercevoir que les rejets de CO2 vont devenir une raison forte de vente de plus et par conséquent une guerre concurrentielle s’annonce.

Tarifs :

–         1.6 d Drive………………………………30200€

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